LA ROQUEBROU
Auvergne Rhône-Alpes, Cantal
La Roquebrou, Petite Cité de Caractère®
La Roquebrou est reconnue comme une Petite Cité de Caractère®. Cette marque témoigne de la qualité des patrimoines locaux et de l’engagement de la commune à les protéger et à les mettre en valeur. Autour de cette question centrale, se construit un tourisme à dimension humaine, privilégiant la qualité d’une rencontre, le plaisir de découvrir des pépites patrimoniales, de flâner dans la cité, d’être acteur d’une animation culturelle, d’aller au marché... Dans le Cantal, venez découvrir nos Petites Cités de Caractère®, leur histoire, leurs patrimoines et leurs habitants, et apprécier un certain art de vivre. Vous y trouverez cette carte numérique qui vous permettra de repérer facilement les différents points d’intérêts pour vous aider dans votre découverte.
La Roquebrou, cité castrale sur la Cère
Située en Châtaigneraie cantalienne, à l’entrée des gorges de la Cère, la cité de La Roquebrou s’est développée autour de son château bâti sur un éperon rocheux. Véritable foyer culturel au moyen âge, le château fût également un rempart protecteur pour la population contre l’invasion anglo-saxonne. Ancienne ville castrale, et ville du premier pont sur la Cère, la cité s’est développée du Xe au XVe siècle grâce à son activité agricole importante mais également à un artisanat varié et lucratif pour les habitants : tanneries, cordonniers, tisserands, potiers. Notre Dame du Rocher et le château médiéval surplombent les vieux quartiers aux ruelles à pente raide, aux maisons à pan de bois en encorbellements et colombages avec leurs linteaux de portes gravés de dates médiévales. Influencée par l’architecture du Lot et du Quercy, la cité médiévale demeure «Porte du Midi».
Rive gauche de la Cère
Depuis cet endroit situé sur la rive gauche de la Cère, on a une bonne vue d’ensemble de la cité médiévale : le château sur son promontoire, l’église et la Maison de la Trémolière, le pont et les habitations. Sous les quais de la rive droite, construits vers 1960, on voit sortir le ruisseau du Négrerieu, à gauche du pont, et celui du Reclus, à sa droite au milieu du foirail. En arrière-plan, à droite du château, les jardins en terrasse sont exposés au Sud. Du moyen-âge jusque vers 1980, les habitants de la cité y avaient chacun leur jardin. Tout à fait à droite, au bord de la Cère, un moulin appelé « de la Peissière » était autrefois le moulin à grain du seigneur.
Pont sur la Cère
Avec ses trois arches et ses piles aux puissants avant-becs, le pont sur la Cère est construit en pierre granitique. Cet édifice du XIIIe siècle contribua à l’essor économique de la cité. Unique passage sur la Cère, il facilita l’accès de la région d’Aurillac vers le Quercy et le bassin de la Garonne. Bordé au haut moyen-âge, de maisons et de boutiques, il fut fortifié lorsque les temps devinrent moins sûrs, le Seigneur put y instituer un droit de péage qui fut supprimé à la Révolution. Jouxtant le Pont, la Place Sabatier était un lieu de transition vers l’une des portes d’entrée dans la cité : La porte « Del Fort ». De nombreux travaux d’élargissement et de surélévation se déroulèrent entre 1817 et 1850, donnant au pont son aspect actuel.
Hôtel de la Trémolière
La Mairie est installée dans l’ancienne maison collégiale des chapelains de la Trémolière, construite au début du XIVe siècle et donnée par Géraud de La Trémolière en 1342 pour y fonder une institution religieuse à but caritatif et éducatif. Le portail d’entrée particulièrement ouvragé est inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques, ainsi que les boiseries de la salle du Conseil Municipal. Les autres ouvertures du rez-de-chaussée, et la plupart des grandes fenêtres de l’étage, sont du XIXe siècle, destinées à éclairer les salles de classe de l’école des garçons installée dans ce bâtiment avec la mairie après la Révolution. La façade Sud, avec sa porte ogivale au premier étage, donne sur le « Jardin de La Trémolière », joliment rénové en 2017 en jardin public.
Place de la Frugière
Ce quartier, avec son charmant labyrinthe de ruelles pavées, était inclus dans le fort originel. La source de la place donnait de l’eau aux habitants, avant l’installation de l’eau courante. Autrefois appelé « quartier de la Frégière », on peut supposer que des aménagements particuliers pour conserver la glace ou les aliments au frais y avaient été aménagés. Le quartier regorge de demeures typiques, dont la grande maison derrière la fontaine, au pied du rocher de la Vierge, qui est une ancienne maison médiévale fortifiée. La maison de plan carrée adossée au Rocher est appelée la maison “des poulettes”, car selon la légende locale, elle aurait abrité les nombreuses maîtresses des seigneurs de Montal ! Elle possède une architecture de même facture que le château : tour avec escalier à vis et portes au tympan à arc en accolade.
Château de Montal
Bâti sur un éperon rocheux stratégiquement placé à l’entrée des gorges de la Cère, le château fut occupé dès le XIIIe siècle par la famille de Montal. La construction du château s’est faite progressivement à partir du XIVe siècle. Le château achevé avait belle allure avec ses 7 tours, ses deux grands corps de bâtiment de chaque côté de la tour d’escalier, et son chemin de ronde. Il fût entouré de murailles agrémentées de deux grandes portes défensives (dont la «Grande porte défensive du Pont») et de trois portes donnant un accès direct à l’intérieur de l’enceinte. A la fin du XVIe siècle jusqu’à la Révolution, le château devient Marquisat de Peyrusse d’Escar suite au mariage de Rose de Montal avec François de Peyrusse d’Escars. Devenu Bien National en 1793, puis, dès 1840, vendu à plusieurs propriétaires successifs, le château est devenu une source de pierres et de poutres à vendre.
Esplanade du château
Ce n’est qu’en 1962 que la Municipalité de La Roquebrou devient propriétaire du Château. Grâce à l’important travail de bénévolat réalisé par l'Association des Amis du Château, le bâtiment a pu être sauvé, grâce à la réfection de la toiture du bâtiment central et de la tour ouest. Puis les diverses municipalités poursuivent la rénovation. Aujourd’hui le Château abrite des expositions pendant l’été, et son esplanade propose un espace paysager pouvant rappeler l’ancien parc du château, et offrant l’une des plus belles vues sur la cité. Les derniers aménagements mettent en évidence les jardins par la plantation de 105 pieds de vigne dont 50 pieds type chasselas doré, muscat de Hambourg et 55 pieds type cardinal, dattier.
Rocher de la Vierge
Le rocher de la Vierge est un dyke de quartz, c'est-à-dire une roche éruptive ayant jailli et conservé la forme de ce jaillissement. L’érosion l’a séparé du promontoire du château, et un filon se prolonge plus bas, rue du Fort, où une curieuse maison semble en manger un bloc. La statue de la Vierge, inaugurée en 1887, est une copie de celle de Notre Dame de Fourvière à Lyon. Elle a remplacé une tour carrée médiévale : la « Tour Del Moussou » ou tour du Seigneur. Cette tour placée sur le rocher qui augmentait l’impression de domination, a sans doute donné au lieu le nom de « La Roque », elle y abritait déjà une chapelle dédiée à Notre Dame.
Place du Merle
Cette place située dans l’ancien fort, qui communiquait avec la rue Négrerieu par une porte devant le pont sur le ruisseau, a gardé son charme grâce aux nombreuses maisons médiévales qui l’entourent. A l’entrée du pont, une belle maison carrée a servi à partir du XVIIe siècle de tribunal pour le Marquisat de La Roquebrou. Sur le pont vous pourrez voir le ruisseau Négrerieu, couvert en aval jusqu’à sa sortie dans la Cère. Très utile à la cité, ce ruisseau faisait fonctionner plusieurs moulins, dont un spécialisé dans le tannage des cuirs, et servait par sa profondeur de fossé défensif.
Rue Négrerieu
Cette rue doit son nom au ruisseau, « le Rieu Negre » qui signifie le ruisseau noir en occitan. Son appellation vient peut-être de ses « colères noires », crues violentes lors des grosses pluies d’orage. La rue Négrerieu formait un deuxième faubourg peuplé majoritairement d’artisans : tisserands, potiers et surtout des métiers en rapport avec le travail du cuir : tanneurs, cordonniers, selliers, fabricants de parchemin et sabotiers. La maison sur laquelle est apposée la plaque de Raymond Four, poète occitan, appartenait à une riche famille de tanneurs.
Rue Damont
La rue Damont (ou d’Amont, rue qui va vers l’amont de la Cère), formait un faubourg dans lequel marchands et artisans se sont installés, pour bénéficier du passage des voyageurs et des marchandises qui passaient par le pont. On y voit encore plusieurs maisons en pierres de taille, à porte ogivale et fenêtres anciennement à meneaux ou croisillon ; et également des maisons à colombages. Elle abrite le ruisseau du reclus, invisible car dissimulé sous la rue qui descend vers le foirail. Son nom vient du reclusage qui était placé sur ce ruisseau. Le reclusage était un petit réduit dans lequel, au Moyen-âge, une personne très pieuse sacrifiait sa vie pour racheter les péchés de toute la population. Ce ruisseau passait, jusqu’au XIXe siècle, à l’air libre devant l’hospice, et servait au nettoyage des peaux par les tanneurs.
Maison Buc Place du Coq Roquais
Située au cœur de la partie médiévale du village, Place du Coq Roquais, vous pourrez admirer la "Maison Buc" qui date du XIIIe ou XIVe siècle. C'était sans doute celle d’un riche marchand, avec ses trois grandes arcades et son étroite porte d’entrée ogivale. Un remaniement à la Renaissance a doté cette maison de fenêtres à meneaux (classés au XIXe siècle) et d’un intéressant cadran solaire canonial, gravé dans une des pierres de la façade pour permettre à son occupant de l’époque, un religieux, de ne pas manquer les offices obligatoires.
Hospice
Hôpital et hospice à la fois, fondé en 1300, il était placé à l’entrée de la ville sur le chemin venant d’Aurillac pour limiter la contagion et obliger les voyageurs malades à s’y arrêter. De la construction du XIVe siècle il reste la façade nord, avec ses deux portes ogivales dont l’une donnait sur l’hôpital et l’autre sur la chapelle. Son fonctionnement était assuré par de nombreuses donations. Lorsque Louis XIV a voulu récupérer les revenus des hôpitaux-léproseries, estimant qu’ils n’avaient plus d’utilité et qu’il lui fallait de l’argent pour soigner ses soldats blessés, l’hôpital de La Roquebrou a réussi à prouver son utilité, ce qui correspond à l’inscription « confirmé en 1705 » qui figure sur le médaillon au-dessus de la porte d’entrée. Le bâtiment abrite à présent une salle d’exposition sur l’histoire de la cité, la médiathèque et une poterie associative.
Moulin de la Peissière
Les traces du blason de la famille de Montal que l’on distingue encore sur le pilier central soutenant les deux voûtes, rappellent l’origine seigneuriale de ce moulin. Le moulin fût vendu comme bien national en 1794, il devient en plus de la meunerie, une carderie, une teinturerie et un atelier de tissage. Son activité prit fin en 1956.
Rivière la Cère
Tout commença par une légende : « Une petite nymphe avait permis à Cérès, la déesse des moissons, de retrouver sa fille emportée aux enfers par Pluton. Aussi, quand la nymphe se trouva menacée par Apollon, Cérès vola à son secours et la transforma en une rivière qu'en souvenir on appela la Cère». Dans la première moitié du XXe siècle, la Cère était encore très poissonneuse. On y pêchait de nombreuses espèces, dont la truite, que les spécialistes de la pêche à la mouche savent encore de nos jours taquiner !
Église Saint Martin
L’église de style gothique est construite au XIVe siècle et financée par les habitants du fort et des faubourgs. Placée sous le vocable de « Notre Dame de Miséricorde », elle était la Collégiale de la communauté des « prêtres filleuls ». L’église Saint Martin de Brou ayant été démolie à la fin du XVIIe siècle, l’appellation Notre Dame de Miséricorde a été abandonnée au profit de celle de Saint Martin. On peut y admirer quelques beaux tableaux et deux grandes statues en bois, Saint Martin et Saint Roch. Sur la façade ouest, on peut voir la saillie en demi-rond de l’escalier du clocher dans lequel il y a trois cloches, deux du XIXe et une troisième de 1593. Sur le côté Sud, se trouvait le cimetière, déplacé lors de la Révolution. La porte Sud était celle par où passaient les morts de l’église au cimetière ; elle est surmontée d’une ouverture en forme d’étoile (étoile du berger).
Fontaines et lavoirs
La cité compte de nombreuses fontaines qui avaient pour but d’alimenter en eau les différents quartiers : la fontaine de Clavière (rue de la gare), la fontaine au bout du pont (1870), la fontaine de la place de l’église (1838), la fontaine rue Négrerieu près du pont enjambant le ruisseau (1892), la fontaine Place de la Frugière, la fontaine Place du Coq Roquais, la fontaine de l’Hospice. On dénombre également trois lavoirs publics : le lavoir rue Négrerieu (1912), le lavoir du reclus au bout de la rue Damont (1932) et le lavoir de la route de Montvert (1912). Fontaines comme lavoirs, étaient un lieu de rencontres. On y faisait un brin de causette en attendant de remplir son seau ou en faisant sa lessive.
Fontaines et lavoirs
La cité compte de nombreuses fontaines qui avaient pour but d’alimenter en eau les différents quartiers : la fontaine de Clavière (rue de la gare), la fontaine au bout du pont (1870), la fontaine de la place de l’église (1838), la fontaine rue Négrerieu près du pont enjambant le ruisseau (1892), la fontaine Place de la Frugière, la fontaine Place du Coq Roquais, la fontaine de l’Hospice. On dénombre également trois lavoirs publics : le lavoir rue Négrerieu (1912), le lavoir du reclus au bout de la rue Damont (1932) et le lavoir de la route de Montvert (1912). Fontaines comme lavoirs, étaient un lieu de rencontres. On y faisait un brin de causette en attendant de remplir son seau ou en faisant sa lessive.
Festival international de Boogie-Woogie
Festival qui est devenu, au fur et à mesure des années, une institution et un rendez-vous incontournable pour les aficionados de ce courant musical du début du XXe siècle. Il est même aujourd'hui connu pour être le plus grand festival de Boogie-Woogie au monde ! Avec ses 5 jours de fêtes et ses 10 000 festivaliers qui arpentent la cité, cet événement accueille chaque année plus de 60 artistes venus du monde entier. Des petites représentations au sein du centre historique, aux déambulations des fanfares sur l'avenue principale, en passant par les grands concerts en soirée et les concerts de Gospel à l'église, tous les publics trouveront de quoi passer un agréable moment au cœur de la période estivale.
Tradition charcutière
Véritable patrimoine culinaire, la tradition charcutière de La Roquebrou raconte l’histoire d’un savoir-faire ancestral et d’un lien fort avec le terroir. Les recettes traditionnelles, élaborées dans la plus pure tradition de la Châtaigneraie Cantalienne, se transmettent de génération en génération au sein des établissements réputés de la cité. Déguster pâtés, saucisses sèches ou encore pounti, c’est goûter à la culture locale, en savourant des produits d'exception. Cette tradition charcutière se vit aussi lors de la fête de la Mangona, qui permet de découvrir toutes les étapes de la fabrication de la charcuterie, de l'abattage du cochon à la dégustation des produits finis.
La Roquebrou, cité animée
La Roquebrou se visite, se goûte et se vit à travers la rencontre avec son patrimoine architectural, ses traditions culinaires, ses habitants. Ses grands rendez-vous annuels permettent un voyage dans la cité charcutière lors de la Fête de la Mangoune, la cité sportive pendant le trail Laroquapattes, la cité médiévale pendant la Fête médiévale, la cité festive lors des festivals Boogie Woogie et Swing Août l’été, ou encore la cité culturelle lors de la Foire du livre.
Gorges de la Cère
La Roquebrou est la porte d’entrée sur les gorges sauvages de la Cère qui abritent une importante biodiversité : aigle botté, circaète jean le blanc, espèces de chauves-souris, reptiles, orpin hérissé, valériane à trois folioles … Les plus sportifs peuvent les découvrir en empruntant le GR®652 ou Via Arverna. Cette randonnée de plus 30 km, en pleine nature, loin de la civilisation permet d’observer également des aménagements hydroélectriques. La Cère, avec toutes ses richesses, a offert un écrin remarquable à l’émergence d’une cité dont l’économie fut basée sur de l’artisanat utilisant l’eau comme force motrice.
La Roquebrou en Châtaigneraie Cantalienne
Petites Cités de Caractère® de la Châtaigneraie
Mentions légales
Ce projet de carte interactive est porté par les associations Petites Cités de Caractère® de France, Petites Cités de Caractère® en Auvergne Rhône Alpes, Petites Cités de Caractère® du Cantal et par la commune de La Roquebrou.
Il est soutenu financièrement par l'Appel à Manifestation d'Intérêt "Destinations Digitales" du plan "Destination France" piloté par Atout France, par la convention FNADT du Commissariat Massif Central, par l'appel à projet "patrimoine et numérique" de la Région Auvergne Rhône-Alpes, et par la Fondation d’Entreprises du Crédit Agricole Centre France.
Le plan de la commune (visuel de fond) a été réalisé par Laura Catheline - atelier passage.
Les traductions en anglais ont été réalisées par l'Office de tourisme de la Châtaigneraie Cantalienne.
Les voix ont été produites et enregistrées par Hélène Poussin - Compagnie « les pieds bleus » (version française), Nico production (version anglaise).
Les photos ont été produites et réalisées par Antom Production - Anthony Moujol, Patrick Forget, Pierre Soissons, Stephanie Belaubre, Office de tourisme de la Châtaigneraie Cantalienne.
Les vidéos ont été produites et réalisées par Petites Cités de Caractère®, Leomedias.
Conception et développement de la carte interactive par Tabula Rasa.
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